Aller au contenu

Quelques explications

Ce concept aborde la diversité dans les façons de traiter l’inclusion. Les trois situations présentées ci-dessous sont pertinentes, l’idée est de connaître les différences et de tendre vers la programmation inclusive.

En situation d’intégration en loisir, la personne participante s’adapte au milieu à l’aide de moyens spécifiquement conçus pour elle. L’adaptation peut être représentée par un accompagnateur ou une accompagnatrice, une rampe amovible posée sur des escaliers, une personne interprète, etc.

Lors de l’inclusion en loisir, c’est le milieu qui s’adapte. C’est donc l’environnement qui sera adapté. Par exemple : le bâtiment possède une rampe permanente entre deux paliers, l’organisation a prévu un audio-guide qu’il est possible d’emprunter au comptoir d’accueil, les personnes travaillant dans le parc ont tous reçu une formation sur l’accueil et l’inclusion de personnes handicapées, etc.

Finalement, lorsqu’une programmation est inclusive, le nombre d’adaptations nécessaires par les personnes participantes ou par le milieu sont réduits, car la programmation prend en compte les différentes capacités. Par exemple : un panneau d’interprétation comporte des textes simples ayant une grosse police d’écriture, des visuels en trois dimensions et une traduction en braille ou encore l’aire de repos principale compte différentes tables à pique-nique accessibles à tous, etc. Un outil a été développé pour aider à la réflexion sur les variables de l’inclusion.

Quelques questions à se poser

  • Les actions mises en place dans l’organisation actuellement tendent-elles davantage vers l’intégration en loisir, l’inclusion en loisir ou une programmation inclusive?
  • Quels sont les principaux avantages d’une programmation inclusive?
Image décoration

Multiplier les actions inclusives